• Des records de 1883 battus au mois de Mars, en Europe

    Un lien pour la Belgique... Mais il y a d'autres pays.

     

    Lorsqu'on regarde les cycles solaires, hoooooooo, surprise!....

     

    wolfaml
     
    Nous sommes dans la même dizaine ( vers 60 ) dans les deux cas. Et dans les deux cas, nous sommes  dans la suite de cycles puissants ( 5 cycles puissants aujourd'hui, 3 dans les années 1880 ).
     
    Mais bon, c'est sûrement une nouvelle coïncidence puisqu'ils disent encore dans les médias que c'est à cause du réchauffement climatique...

  • Commentaires

    1
    SUZ
    Samedi 30 Mars 2013 à 09:08
    Bonjour, J'ai trouvé cet article, sur un site, qu'en pensez vous, ça vous dit quelque chose cette histoire de double pic ? Merci Article de Science@NASA de Tony Phillips traduit par Yann de Kersauzon publié le 20-03-2013 Il arrive quelque chose d'inattendu au Soleil. L'année 2013 était censée être l'année du cycle de 11 ans où l'activité solaire serait à son maximum. Or nous sommes indéniablement en 2013, et le soleil est relativement peu actif. Taches solaires Le nombre de taches solaires est par exemple nettement en deçà de celui recensé en 2011, et les fortes éruptions solaires se font plutôt rares depuis plusieurs mois. Ce calme a conduit certains observateurs à se demander si les experts ne s'étaient pas trompés dans leurs prévisions. Dean Pesnell, expert en physique solaire au Goddard Space Flight Center, nous offre une tout autre explication : « Ceci est bien le maximum solaire, mais il est différent de ce à quoi nous nous attendions car sa courbe décrit un double pic », suggère-t-il. On envisage généralement l'activité solaire comme animée d'un simple mouvement de balancier. D'un côté se trouve une période calme, pauvre en taches solaires et en éruptions, alors que de l'autre côté, le maximum solaire est une période riche en taches et en tempêtes solaires. C'est un cycle régulier qui se répète tous les 11 ans. Cependant, la réalité est plus complexe. Depuis plusieurs siècles, les astronomes ont recensé le nombre de taches solaires et se sont aperçus que ce cycle n'est finalement pas si régulier. Tout d'abord, la durée d'un cycle peut aller de 10 à 13 ans et son amplitude peut varier. Certains maxima sont très faibles, d'autres très forts. Pesnell nous fait part d'une autre complication : « Les deux derniers maxima solaires, aux alentours de 1989 et 2011, ne formèrent pas un pic, mais deux ». L'activité solaire augmenta, puis diminua pour ensuite remonter, constituant ainsi un mini cycle s'étalant sur environ deux ans. Le même phénomène se répète probablement en ce moment. Le nombre de taches solaires est monté en flèche en 2011, est redescendu en 2012 et Pesnell s'attend à une remontée en 2013. « Je crois pouvoir dire avec certitude qu'un nouveau pic d'activité se produira en 2013 et se prolongera peut-être même jusqu'en 2014 », prédit-il. Notre étoile présente une autre curiosité : le pic d'activité dans ses deux hémisphères ne se déroule pas toujours au même moment. Dans le cycle en cours, l'hémisphère sud est en retard sur le nord. Le second pic, s'il a lieu, se produira certainement au sud de l'équateur solaire car l'hémisphère sud tentera de refaire son retard sur le nord. Pesnell est un des leaders du NOAA/NASA Solar Cycle Prediction Panel, une commission d'experts en physique solaire qui s'étaient réunis en 2006 et 2008 pour effectuer des prévisions sur le prochain maximum solaire. À l'époque, l'activité solaire avait atteint son minimum sur une période de près d'une centaine d'années. Le nombre de taches solaires était alors presque nul et pendant plusieurs mois, les éruptions de rayons X étaient inexistantes. Sachant qu'un minimum très bas est souvent suivi d'un faible maximum, et en regroupant de nombreux autres éléments, le panel d'experts avait publié le communiqué suivant : « Le panel de prédictions du cycle solaire 24 est parvenu à un consensus. L'intensité du prochain cycle solaire (cycle 24) sera inférieure à la moyenne, avec un nombre maximum de taches solaires de 90. En se basant sur la date du minimum solaire et sur l'intensité maximum prévue, le maximum solaire est attendu en mai 2013. Veuillez noter que cette décision n'est pas unanime, mais celle d'une large majorité du panel ». Compte tenu du faible niveau d'activité solaire en février 2013, il parait désormais peu probable que le maximum ait lieu en mai. « On assiste peut-être à ce qui se passe lorsqu'on prédit une simple amplitude mais que le soleil répond par un double pic », ajoute Pesnell. Par ailleurs, Pesnell remarque une certaine similarité entre l'actuel cycle solaire 24 et le cycle 14 de la première décennie du siècle dernier. Si les deux cycles étaient en fait identiques, on assisterait alors à un premier pic fin 2013 et à un second en 2015. Personne ne peut affirmer avec certitude comment le soleil se comportera prochainement, mais il sera probablement beaucoup plus agité fin 2013 que maintenant.
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Samedi 30 Mars 2013 à 10:15
        Bonjour. Comme vous pouvez le voir sur les graphiques de cet article, la plupart des cycles moyens ou faibles ont deux pics, et c'est bien le cas de celui de 1880... Alors oui, en 2014/2015, peut-être à partir de la fin de 2013, nous aurons un autre pic. Mais dans tous les cas, cela restera un cycle faible...
    2
    anne
    Samedi 30 Mars 2013 à 09:15
    Ici au bord du lac Léman, pourtant connu pour la clémence de son climat, le printemps ne fait pas signe, les fleurs se terrent et les herbes tendres ne se mêlent pas aux anciennes. La pluie tombe sans discontinuer, ou la neige... On s'accroche.... Bisous
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Samedi 30 Mars 2013 à 10:18
        Oui, Anne. Ici aussi faut s'accrocher entre le vent, le froid et la pluie... Je pense que l'hiver est pénible pour tous, où que nous soyons, car il est extrêmement long, cette année. Mais mieux vaut nous habituer... Bisous l'Amie.
    3
    neo
    Samedi 30 Mars 2013 à 11:51
    Bonjour tout le monde et tout d'abord , bon w.e. pascal... Ensuite , Damien , je pense que les 2 notions ne sont pas incompatibles, bien au contraire ... Pourquoi ne pourrait-on avoir un réchauffement global sur la planète notamment dû aux activités industrielles de son prédateur n°1, avec fontes accélérées dûes à l'effet de serre _ ( voire même provoquées afin d'avoir accès aux richesses pétrolières et minières notamment au Pôle Nord) _ des 2 calottes glacières ... et donc, diminution de la turbidité des eaux océaniques de surface ( dûe à la saturation de ses courants par surplus d'eau douce généré par les fontes des glaces dans les 2 zones d'avaloir des courants profonds cette fois-ci ), pouvant à terme modifier l'échangeur thermique global que représentent les grands courants marins et , en même temps , dans un autre plan , une diminution de l'activité solaire évidente, comme le démontrent si bien les cycles solaires dont nous parlons ici depuis maintenant de nombreuses années ... Le tout nous conduisant effectivement tout droit vers une mini-période glacière telles que celles que la Terre connut précédemment entre 1520 et 1620 et fin 1800... voir entre-autre ci-dessous: " Paysage d'hiver", tableau de 1565 de Bruegel l'Ancien ou Esaias,1618 , Van de Velde http://michel.cristofol.over-blog.com/article-l-hiver-en-litterature-poesie-et-peinture-93182618.html
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Samedi 30 Mars 2013 à 15:18
        Salut Neo, parce que nous sommes dans la même veine qu'en 1883 et que l'effet de serre n'est qu'une théorie, et même si elle est confirmée, elle est due surtout à H2o, non au Co2... et que la part de Co2 humain est extrêmement faible dans le Co2 dégagé par tout ce qui vit et ce qui meurt... C'est donc un raccourci assez ridicule que ce "réchauffement anthropique"... C'est de l'ethnocentrisme, comme d'habitude.
    4
    neo
    Samedi 30 Mars 2013 à 11:54
    9
    houps
    Samedi 30 Mars 2013 à 12:21
    bonjour Ferlin, c'est intéressant de voir comment a été l'hivers correspondant au minimum solaire de 1890. Une petite recherche indique qu'il a été particulièrement rigoureux. "L Hiver 1890 - 1891 très rigoureux Cette vague de froid est caractérisée par sa longueur ( du 26 novembre 1890 au 20 janvier 1891) et par la quasi absence de neige. Ceci a pour conséquence de détruire une grande partie des céréales. A Paris, la Seine est entièrement gelée du 11 au 24 janvier et la température minimale est paradoxalement mesurée le 28 novembre. C'est d'ailleurs la température la plus basses jamais enregistrée au cours d'un mois de novembre depuis 1788. Ce froid affecte toute la France, y compris le nord de l'Algérie. La Loire gèle dés le 15 décembre à Nantes." En 1986, il a fait -17° en région parisienne, la seine charriait de gros bloc de glace mais n'a pas gelé. Pour qu'elle gèle il faut que la température passe sous les -20 °, confirmé ici. cet autre : 1890-1891 — Pendant l'hiver 1879-1880, le thermomètre à minima était descendu 22 fois à Paris au-dessous de -— 10° et avait atteint sous abri —25°.6; durant l'hiver 1890-1891, on n'a compté qu'une dizaine de jours à température inférieure à — 10° et le minimum absolu n'a pas dépassé — 15°. Et cependant au cours de cette dernière saison la plupart des ensemencements de blés d'automne et toutes les avoines furent perdus. Ce fait est dû, d'abord à une absence presque complète de neige sur le sol, et ensuite au passage subit, à la fin de novembre, d'une température élevée à une température très basse à Paris, le minimum du 24 novembre était encore de + 10° 5 et celui du 28 n'était plus que de — 15° 0. Les températures continuèrent à rester basses à Paris en décembre 1890 (— 13° 1 le 15) et en janvier 1891 (— 13° 5 le 20) : en ce dernier mois, la Seine fut entièrement prise du 11 au'24. Les gels et dégels successifs de février et mars achevèrent la destruction des céréales, mais les arbres souffrirent peu. Il est à noter que les vers blancs résistèrent très bien à ces gelées rigoureuses : on en trouva dans le sol glacé à 10 centimètres de profondeur, qui reprirent toute leur vitalité après le dégel. Ces froids intenses affectèrent toute la France et même l'Algérie. Dans le Nord, la couche gelée atteignait, sous un sol nu, 85 à 90 centimètres de profondeur. A Nantes, plusieurs personnes purent, dès le 15 décembre, traverser la Loire sur la glace. Dans le Midi, on nota, les 18 et 19 janvier 1891, des minima sous abri de — 8° 5 à Perpignan, — 17° 5 à Digne, — 35° 0 au Pic du Midi : dans la région de Montpellier, de nombreuses vignes eurent leurs souches fendues par les gelées. La neige tomba abondamment en Algérie vers le 20 janvier, et à Sétif le thermomètre enregistra — 13°. Pendant ce temps l'Islande et l'Amérique septentrionale jouissaient d'un hiver exceptionnellement doux.
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Samedi 30 Mars 2013 à 15:20
        Merci pour cette recherche... J'allais le faire, mais là, j'ai du retard sur le sommeil, je vais essayer de rattraper un peu. C'est peut être un aperçu de ce qui nous attend... En tout cas, je le pense...
    11
    neo
    Samedi 30 Mars 2013 à 15:48
    effet de serre avec vapeur d'eau ( effectivement ) mais aussi méthane et CO2 , le tout cumulé . -,) donc on ne peut l'exclure non ?
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Samedi 30 Mars 2013 à 19:32
        Il n'y a aucune corrélation entre le taux de gaz dans l'atmosphère et la température globale... Il n'y a pas de réchauffement climatique...
    12
    neo
    Dimanche 31 Mars 2013 à 12:10
    Slt Damien , et bon dimanche: donc , pas d'effet de serre pour toi alors ? et quid de la géo-ingienérie climatique et des chemtrails visant à " contrôler " artificiellement les températures globales de notre atmosphère ? on ne peut nier cela voyons ... OK l'expression " réchauffement climatique" est peut - être inappropriée mais il existe tout de même des interactions humaines avec le milieu qu'on ne peut écarter d'un revers de main , dussais-je insister . Jamais dans l'histoire de l'Homme, ces 200 dernières années, celui- ci n'a a ce point modifié son biotope. les études des glaciologues sont très claires à ce sujet .
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Dimanche 31 Mars 2013 à 12:40
        Salut neo, il y a forçage climatique, surtout par les nuages qui retiennent la chaleur au sol. D'où le problème des trainées d'avions, les cirrus étant les nuages qui génèrent le plus de forçage. Ce que je dis, c'est que s'il y a réchauffement depuis un siècle ( après 40 ans de forte activité solaire ), le réchauffement n'a plus lieu depuis le début du siècle. Je prépare un billet là dessus... En ligne demain, au plus tard...
    13
    Hélios
    Dimanche 31 Mars 2013 à 21:55
    Salut Damien, Je vois ta nouvelle présentation, mais je trouve que le blanc sur fond noir fait un gros contraste et fatigue les yeux, mais ton effort est méritable. J'ai trouvé un article en anglais, mais avec plein de graphiques pour l'histoire du réchauffement ou plutôt du refroidissement : http://www.globalresearch.ca/global-cooling-is-here/10783 Gros bisous à tous les deux. PS : je te repique la photo du pentagramme de nuages. C'est toi qui l'a prise ?
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Lundi 1er Avril 2013 à 11:58
        Salut Hélios... Ce n'est qu'une mise en place à parfaire à l'avenir... Il faut des titres plus gros, oui, et d'une autre couleur... Je suis un apprenti sur ce serveur de blog, pas facile de tout maîtriser... Merci pour le lien. J'en prépare un moi même, plus simple, mais dans le même sens... La photo, non, mais elle est réelle.... Bisous.
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    14
    Toff
    Jeudi 11 Avril 2013 à 10:24
    Salut Ferlin, Alors, 57.9 pour le mois de Mars? Au vu des graphiques associés, ce cycle parait particulièrement atypique! Qu'en penses tu?
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