• Nova Delphini

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    1
    Cécile (à Montpellie
    Dimanche 18 Août 2013 à 20:03
    Malheureusement, avec une magnitude de 4, cette nova est invisible en ville. Et même en montagne par temps très clair, on risque d'être un peu déçu, à moins d'utiliser une paire de jumelles un peu sérieuses ou un téléscope. Ce n'est donc pas un événement spectaculaire, contrairement à ce que suggèrent les cyber-astronomes (toujours dans la surenchère, ceux-là). Mais c'est quand même émouvant. Merci pour la carte du ciel, avec le Dauphin qui se fait tout petit entre l'Aigle (avec Altaïr) et le Cygne (dont on voit la queue sur la droite de l'image) !
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Dimanche 18 Août 2013 à 20:55
        Oui, plus facile dans un désert.... Pour ce qui est de la surenchère, ça pèse... Pour preuve le changement des pôles magnétiques du Soleil, qui apparaissent partout comme une info importante mais qui pourtant ne signale que la fin du maximum du cycle solaire actuel. Je devrais faire un billet là dessus... Bisous.
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 15:50
    Bonjour Damien , et merci pour ce comm . Merci aussi à Cécile d'affiner . Sinon , nous préparerait - on à une rencontre du 3ème type ? voici ce que j'ai reçu aujourd'hui dans ma bal . Alors , avec de plus en plus d'émissions, de plus en plus souvent ... toujours plus nombreuses et mieux documentées sur le sujet ex : Alien Théory en ce moment sur RMC Découverte , je me pose sincèrement la question ... http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/zone-51-un-secret-de-polichinelle-139781 Zone 51 : un secret de polichinelle La CIA a déclassifié le jeudi 15 aout un document sur son avion-espion U-2 dans lequel figurent plusieurs références au lieu où l'avion a effectué ses premiers essais, en l'occurrence la Zone 51. Ces documents ont été publiés en réponse à la demande de Jeffrey T. Richelson, de l'association Archive de la sécurité nationale, au nom du Freedom of Information Act, la loi pour la liberté d'information. Comme le souligne CNN, le secret de la base n'était pas très bien gardé. Une simple recherche sur Google Maps permet de la localiser. Néanmoins aucune mention relative aux "ovnis" et aux "extraterrestres" n'existe dans les 400 pages de ce rapport. Jeffrey T. Richelson y voit une ouverture de la part du gouvernement avec de nouvelles révélations prochainement. Un secret de polichinelle ! ​La communauté ufologique déclare depuis plusieurs décennies que des avions tels que le furtif F117, l'avion-espion U2, le SR71 ou le A12 ont été conçus et testés dans la Zone 51. Les sources proviennent principalement d’anciens militaires ou scientifiques proches de certains ufologues américains. Et ce n’est qu’aujourd’hui que les médias se réveillent en effectuant des rapprochements complètement absurdes et réducteurs qui consistent à assimiler ces aéronefs à ce que nous penserions être des engins d’origine extraterrestre. Comme si nous étions des abrutis à ce point ! Jusque aujourd’hui, ni l'US Air Force, ni le département de la défense n'opérait et ne possédait d'installation sous le nom de ​Zone 51. La base n'apparaît sur aucune carte officielle du gouvernement américain. La société EG&G travailleraient depuis 50 ans avec le gouvernement américain sur la Zone 51 sans aucune surveillance du Congrès dont les pouvoirs seraient restreints lorsqu'il s'agirait d'évoquer cet endroit classé confidentiel. Rappelons que comme dans toutes nos « démocraties », les budgets sont votés par le parlement qui se trouve être le congrès aux USA. La part consacrée à la Défense étant de plus en plus contestée par l’opinion américaine, le gouvernement a souvent eu recours à de puissantes entreprises privées qu’on appelle le complexe militaro-industriel et qui possèdent de gigantesques moyens financiers et de recherche. Ainsi, l’État leur offre des dispositions spéciales afin de mener à bien leurs missions et d' effectuer des tests dans la Zone 51 par exemple. De nombreux prototypes sont ainsi nés en collaboration entre ces entreprises (souvent dirigées par des anciens gouvernementaux ou militaires reconvertis dans les affaires). Le gouvernement a-t-il anticipé une éventuelle fuite de la part de Snowden, après la divulgation du Projet Prism ? Les médias sont étrangement tous d'accord ! On a l'impression qu'absolument tous les médias dits conventionnels ont copié/collé le même article jusqu'au titre même : "Les ovnis de la Zone 51 n'étaient que des avions-espions". Il faut à tout prix "pondre" un article pour livrer l'information en direct comme les autres ! ​Où serait passé l'esprit critique ? Je n'attribuerai guère ceci à une grande manipulation ou autre mais plus à une incompétence que l'on observe au niveau du traitement de certaines informations dites "insolites". Comme lorsque nous dénoncions à l'époque les systèmes d'écoutes américains tels que "ECHELLON" ou dans un autre domaine "HAARP", et que nous étions assimilés à des farfelus.
      • Ferlin1 Profil de Ferlin1
        Mardi 20 Août 2013 à 00:17
        Salut neo. Oui, les journalistes ne font que rapporter les dépêches des agences de presse, qui sont toutes sous contrôle. Pour la zone 51, on parle des avions qui étaient secrets pendant des dizaines d'années. Il y a donc des avions qui le sont encore... Et peut-être pas que des avions....
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 16:00
    http://earthsky.org/brightest-stars/deneb-among-the-farthest-stars-to-be-seen?utm_source=EarthSky+News&utm_campaign=468207d2cc-EarthSky_News&utm_medium=email&utm_term=0_c643945d79-468207d2cc-393511181 Star of the week: Deneb is a distant and very luminous star Hertzsprung-Russel_cropped Deneb is one of the most distant stars you will see with your eye alone. That’s because it’s one of the most luminous stars in the Milky Way galaxy. : Deneb is one of the most distant stars you will see with your eye alone. That’s because it’s one of the most luminous stars in the Milky Way galaxy. The exact distance to Deneb is unclear, with estimates ranging from about 1,425 light-years to perhaps as much as 7,000 light-years. Whatever its exact distance, when you gaze at Deneb, know that you are gazing across thousands of light-years of space. The best estimates for Deneb’s distance likely are those obtained by the Hipparcos Space Astrometry Mission in the 1990s. A simple calculation from initial Hipparcos data gives the figure of 3,230 light-years, whereas the refined data yield just over 1,400 light-years. At any of these estimates distances, Deneb is one of the farthest stars the unaided human eye can see. It is so far, that the light that reaches the Earth today started on its journey well more than 1,000 years ago. Deneb (bottom half of frame) is 200 times bigger than the sun. Image Credit: AstroBob In order for us to see it at its enormous distance, Deneb must also be tremendously bright and energetic. Among the 20 brightest stars, only Rigel in Orion surpasses Deneb in intrinsic brightness. Deneb is an A2Ia star, which says that it is white hot (A2) and a supergiant star (Ia). Prof. James Kaler, using the figure of 2,600 light years as the distance, estimated a diameter 200 times greater than our sun, and about a quarter of a million times brighter in visible light. Considering its spectral classification (A2), Deneb must have a surface temperature between about 8500 to 9000 kelvins (roughly 14,800 to 15,700 degrees F). This is the famous Hertzsprung-Russel diagram, which shows the luminosities of stars. See Deneb at the top of the diagram? It is one of the most luminous stars known. Deneb is not the biggest star in the Milky Way. Betelgeuse and Antares, among others, are larger. But Deneb may well be the most energetic (based on the amount of electromagnetic radiation it produces) of the A-type stars. The famed North American nebula, a large cloud of glowing gas in the shape of the continent, likely is glowing in a process similar to fluorescence, energized by the radiation of Deneb. How to see it White Deneb is the 20th brightest star in the sky. It is one of the most remote stars visible to the eye alone. You can gaze at this faraway star starting in late spring, when Deneb rises over the northeastern horizon by mid-evening. A month later, Deneb is already in the sky by the time it gets dark. In standard time, the midnight culmination date is about August 1. Using Daylight Time, the midnight culmination is about August 15. The word ‘culmination’ indicates the star’s highest point in the sky. Deneb is part of several famous star patterns, which overlap each other. It’s the brightest of the stars composing the constellation Cygnus the Swan, where it marks the Swan’s Tail. When you hear ‘deneb’ in a star name, it always means ‘tail.’ Simultaneously, Deneb marks the head of an asterism (a readily recognizable grouping of stars that is not an official constellation), known as the Northern Cross. Plus it is one of the three stars known as the Summer Triangle. The other two stars are Vega and Altair. Deneb is the northernmost and dimmest of the three Triangle stars, but its association with the other bright stars makes it easy to identify. Deneb is circumpolar as seen from locations of about 45 degrees north latitude, roughly the northern tier of US states. In other words, from the northern U.S. and similar latitudes, Deneb never sets but instead circles round and round the pole star. It cannot ever be seen south of about 45 degrees south latitude. That includes Antarctica, far southern Argentina and Chile, and perhaps the far southern tip of New Zealand’s South Island. Aside from that, just about anyone should have a chance to see Deneb at one time or another. History and Myth The name Deneb derives from the Arabic Al Dhanab al Dajajah meaning Tail of the Hen. It obviously dates from an earlier incarnation of Cygnus not as a swan but as a chicken. Like many bright stars, Deneb has been called by a number of other names, but the oddest, according the Richard Hinckley Allen, who cites the Arabic name above, was Uropygium, meaning the posterior part of a bird’s body from which feathers grow, and oddly sometimes called the “Pope’s nose.” The constellation Cygnus the Swan. The bright star Deneb represents the Tail of Cygnus. Image via Constellation of Words In Chinese mythology Deneb is associated with the story of the Celestial Princess or the Weaver Girl. In this story a Girl (the star Vega) is separated from her beloved (a cowherd represented by the star Altair) by the Milky Way. Once a year, the girl and the cowherd are allowed to meet briefly when a large flock of magpies form a bridge across the starry river. Deneb represents the bridge. Deneb’s position is RA: 20h 41m 26s, dec: +45° 16′ 49″.
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 16:00
    http://earthsky.org/tonight/almost-full-moon-lights-up-capricornus-on-august-19?utm_source=EarthSky+News&utm_campaign=468207d2cc-EarthSky_News&utm_medium=email&utm_term=0_c643945d79-468207d2cc-393511181 Almost full moon shines north of Capricornus on August 19 0 13aug19_430 Tonight for August 19, 2013 Moon Phase Courtesy U.S. Naval Observatory Planisphere - Northen Hemisphere Edition We draw in the arrowhead-shape figure of the constellation Capricornus the Sea-goat by the moon on tonight’s chart. But you’re not likely to see this star pattern tonight because of the overwhelming glare of the full-looking waxing gibbous moon. If you're familiar with the Summer Triangle, draw a line from Vega through Altair to locate Capricornus. Image credit: chipdatajeffb Capricornus? Here’s your constellation The moon shines to the north of this arrowhead-shaped constellation tonight. From northerly latitudes, that means tonight’s moon appears above the Sea-goat, but as seen from temperate latitudes to the south of the equator, the moon resides underneath the “upside-down” Sea-goat. When the moon drops out of the evening sky by the end of the month, you’ll be able to see this loop of stars in a dark sky. The signpost of the summer skies – the Summer Triangle – faithfully escorts you to this constellation. We tell you more about the Summer Triangle on our August 17 program Look for the three brilliant stars of the Summer Triangle high above the moon tonight. An imaginary line drawn downward from the star Vega through the star Altair points in the direction of Capricornus. Learn this trick while the moon is out tonight. Then employ this trick on a moonless night to find Capricornus the Sea-goat. The constellation Capricornus, courtesy of Old Book Art Image Gallery The constellation Capricornus, courtesy of Old Book Art Image Gallery Whenever a bright moon beams in front of Capricornus, I’m reminded of Typhon the fire-breathing monster. In the lore of the heavens, Capricornus the Sea-goat memorializes the story of the Greek god Pan’s misadventure with Typhon. When Pan tried to elude Typhon by turning into a fish, he Pan-icked and turned into a goat-fish instead! Bruce McClure
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 16:01
    http://earthsky.org/science-wire/the-unexpected-exotic-characteristics-of-hot-jupiters?utm_source=EarthSky+News&utm_campaign=468207d2cc-EarthSky_News&utm_medium=email&utm_term=0_c643945d79-468207d2cc-393511181 The unexpected, exotic characteristics of hot Jupiters An exotic class of exoplanets called “hot Jupiters” are even weirder than astronomers imagined. While these worlds may have Earth-like blue skies, new data show that they are anything but Earth-like. When the Space Age began, astronomers knew of exactly zero planets outside the solar system. What a difference 50 years makes. Modern, ground-based telescopes and NASA’s Kepler spacecraft have now confirmed more than 850 exoplanets, while thousands more await confirmation. The pace of discovery suggests “there are at least 100 billion planets in our galaxy,” says John Johnson of Caltech, who works with data from the Kepler mission. “That’s mind-boggling.” When the hunt for exoplanets began, the focus was on Earth-like worlds, planets like our own that might support alien life in distant solar systems. Yet planets as small as Earth are difficult to detect when they circle stars hundreds of light years away. Indeed, only a handful have been found so far. The real haul has been in gas giants, especially “hot Jupiters.” These are behemoth worlds that orbit close to their parent stars, blocking a fraction of the star’s light when it transits in front. Observations of hot Jupiter “mini-eclipses” have yielded hundreds of discoveries. At first considered to be the “chaff” researchers would have to wade through to get to the fainter Earth-like worlds, hot Jupiters are now attracting their own attention. Consider the case of “HD189733b,” discovered in 2005 by a team working at the Haute-Provence Observatory in France. Because it is nearby, only 63 light years away, and because it blocks a whopping 3% of the light from its orange-dwarf parent star, astronomers are rapidly learning a great deal. For one thing, it’s blue. Data obtained by the Hubble Space Telescope suggest that, seen from a distance, the azure disk of HD 189733b would look to the human eye much like Earth. Indeed, some members of the media have taken to calling it “the other blue planet.” It is, however, anything but Earthlike. In 2007, Heather Knutson of Caltech made a global temperature map of HD189733b using NASA’s infrared Spitzer Space Telescope. She knew it would be hot because HD189733b orbits its star 13 times closer than Mercury. “Even so, we were impressed by the readings,” she recalls. Temperatures ranged from 1200 F on the nightside to 1700 F on the dayside. Thermal gradients drive winds as fast as 6000 mph, carrying suffocating heat around the globe. The blue color may be caused by silicate particles in the planet’s atmosphere, which scatter blue wavelengths of light from the parent star. The same physics plays out in Earth’s atmosphere, although the chemicals are different. Silicates are a component of glass, so some researchers have speculated that it is actually raining molten glass on HD189733b. The newest observations come from a pair of X-ray observatories. NASA’s Chandra and the ESA’s XMM Newton watched HD189733b transit its star and detected a drop in X-rays three times deeper than the corresponding decrease in optical light. This means the outer atmosphere is larger than anyone expected. In fact, it is probably boiling away. Authors of the study estimate HD189733b is losing 100 million to 600 million kilograms of mass per second. “The extended atmosphere of this planet makes it a bigger target for high-energy radiation from its star, so more evaporation occurs,” notes Scott Wolk of the Center for Astrophysics. Blasts of stellar radiation hitting the planet at point-blank range could have another effect: auroras that wrap around the planet from pole to pole, orders of magnitude brighter than any Northern Lights in our own solar system. This is speculative, though. While the search for Earth-like planets proceeds, hot Jupiters are a welcome albeit unexpected diversion. It makes you wonder, what will we be looking for 50 years from now…? Via NASA
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 17:03
    vigilance ... notre pays s'américanise , alors restons attentifs afin que jamais cela ne puisse survenir en France : http://www.thistrend.com/news/aux-etats-unis-deux-enfants-interdits-de-parler-du-gaz-de-schiste,3745086.html Aux Etats-Unis, deux enfants interdits de parler du gaz de schiste Le 07 Août 2013 à 19h13. Publié par Marialis MOTUS – Un site d'exploitation de gaz de schiste en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, deux enfants sont interdits de parler du gaz de schiste pour le reste de leur vie. Agés de 7 et 10 ans, ils feraient bien de tenir leur langue, sous peine de se voir infliger une amende de 750 000 dollars. En cause, un accord entre l'entreprise Range Resources, spécialisée dans le gaz de schiste aux Etats-Unis, et la famille Hallowich, dont la ferme de 40 hectares est adjacente à l'un des sites de forage. Lorsqu'en 2011 la famille se plaint que les activités de l'entreprise ruinent à la fois sa ferme et la santé des enfants, qui souffrent de nombreux problèmes respiratoires et maux de tête, l'avocat de l'entreprise propose un arrangement : le gag order, la "clause du bâillonnement". Aux Etats-Unis, la procédure est tout ce qu'il y a de plus légale et banale. Il s'agit d'empêcher, moyennant finances, les parties civiles et leurs avocats d'évoquer l'affaire dans la presse et en public. Le premier amendement ne pouvant empêcher un média de publier et diffuser une information, le gag order est le seul moyen de bâillonner les participants du procès sous le contrôle de la cour. Mais cette fois la décision implique des mineurs. Un cas très rare, qui laisse la mère des deux enfants songeuse et sceptique : "Nous savons que nous faisons vœux de silence pour toujours, mais comment cette décision peut-elle retirer les droits de nos enfants, qui sont aujourd'hui mineurs ?" Plus pragmatique, Stephanie Hallowich doute de la capacité de ses enfants à rester bouches cousues : "Je veux dire, ma fille vient d'avoir 7 ans, et mon fils a 10 ans." Sources : MLADEN ANTONOV/AFP et bigbrowser.blog.lemonde.fr Aux Etats-Unis, deux enfants interdits de parler du gaz de schiste
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 17:03
    vigilance ... notre pays s'américanise , alors restons attentifs afin que jamais cela ne puisse survenir en France : http://www.thistrend.com/news/aux-etats-unis-deux-enfants-interdits-de-parler-du-gaz-de-schiste,3745086.html Aux Etats-Unis, deux enfants interdits de parler du gaz de schiste Le 07 Août 2013 à 19h13. Publié par Marialis MOTUS – Un site d'exploitation de gaz de schiste en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, deux enfants sont interdits de parler du gaz de schiste pour le reste de leur vie. Agés de 7 et 10 ans, ils feraient bien de tenir leur langue, sous peine de se voir infliger une amende de 750 000 dollars. En cause, un accord entre l'entreprise Range Resources, spécialisée dans le gaz de schiste aux Etats-Unis, et la famille Hallowich, dont la ferme de 40 hectares est adjacente à l'un des sites de forage. Lorsqu'en 2011 la famille se plaint que les activités de l'entreprise ruinent à la fois sa ferme et la santé des enfants, qui souffrent de nombreux problèmes respiratoires et maux de tête, l'avocat de l'entreprise propose un arrangement : le gag order, la "clause du bâillonnement". Aux Etats-Unis, la procédure est tout ce qu'il y a de plus légale et banale. Il s'agit d'empêcher, moyennant finances, les parties civiles et leurs avocats d'évoquer l'affaire dans la presse et en public. Le premier amendement ne pouvant empêcher un média de publier et diffuser une information, le gag order est le seul moyen de bâillonner les participants du procès sous le contrôle de la cour. Mais cette fois la décision implique des mineurs. Un cas très rare, qui laisse la mère des deux enfants songeuse et sceptique : "Nous savons que nous faisons vœux de silence pour toujours, mais comment cette décision peut-elle retirer les droits de nos enfants, qui sont aujourd'hui mineurs ?" Plus pragmatique, Stephanie Hallowich doute de la capacité de ses enfants à rester bouches cousues : "Je veux dire, ma fille vient d'avoir 7 ans, et mon fils a 10 ans." Sources : MLADEN ANTONOV/AFP et bigbrowser.blog.lemonde.fr Aux Etats-Unis, deux enfants interdits de parler du gaz de schiste
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 17:04
    ENFIN UNE TRES BONNE NOUVELLE !!! http://www.thistrend.com/politics/monsanto-la-culture-du-mais-transgenique-restera-interdite-en-france,3740913.html Monsanto : la culture du maïs transgénique restera interdite en France Le 02 Août 2013 à 20h12. Publié par Marialis Après la décision du Conseil d'Etat, François Hollande a confirmé vendredi la prolongation du moratoire de la culture du maïs transgénique MON810 de Monsanto. Le ministre de l'Agriculture l'avait annoncée dès jeudi, François Hollande l'a confirmée. Lors d'une visite en Dordogne, le président de la République a annoncé ce vendredi une prolongation du moratoire sur la culture du maïs transgénique MON810 de Monsanto. Cette décision intervient au lendemain de l'annulation par le Conseil d'Etat de l'interdiction de cultiver ce maïs emblématique de la lutte anti-OGM. «Il y aura une prolongation du moratoire», a annoncé le chef de l'Etat, ajoutant qu'il était nécessaire toutefois de «sécuriser juridiquement cette décision sur le plan national et surtout sur le plan européen». «Pourquoi nous avons fait le moratoire sur les OGM? Non pas parce que nous refusons le progrès, mais au nom du progrès. Nous ne pouvons pas accepter qu'un produit, un maïs, puisse avoir des conséquences défavorables sur les autres productions», a poursuivi François Hollande, qui s'exprimait depuis une ferme de la région de Sarlat. Le Conseil d'Etat a annulé jeudi l'interdiction de cultiver en France le maïs transgénique MON810 de la firme américaine Monsanto. Après l'annonce de cette décision, pour non conformité au droit européen, les ministres de l'Agriculture et de l'Écologie, Stéphane Le Foll et Philippe Martin, avaient cependant rappelé «l'engagement du gouvernement (de) maintenir le moratoire sur la mise en culture de semences OGM». VIDEO. Maïs transgénique Monsanto : les associations environnementales en colère OGM: les grandes dates de la polémique 27 nov. 1997: la France, après plusieurs années d'essais en plein champ, autorise la culture de maïs OGM. Un moratoire est décrété sur les autres plantes, jusqu'aux résultats d'un «débat public». 25 sept. 1998: le Conseil d'Etat suspend la commercialisation du maïs OGM au nom du principe de précaution. 9 fév. 2008: la France suspend la culture du maïs MON810, seul maïs autorisé et cultivé sur 22.000 hectares en 2007. 11 fév. 2009: l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) estime que le maïs MON810 ne présente pas de danger pour la santé. Le gouvernement maintient la suspension. 22 déc. 2009: la culture du MON810 présente plus d'inconvénients que d'avantages, estime le Haut conseil des biotechnologies (HCB), saisi par le gouvernement. 8 sept. 2011: la Cour de justice européenne (CJE) déclare que la décision française de février 2008 de suspendre la culture du maïs MON 810 n'a pas été prise selon la procédure adéquate. Suite à cet arrêt, le Conseil d'Etat annule la suspension de février 2008, faute de preuves d'un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l'environnement. Le lendemain, le président Nicolas Sarkozy déclare que «le gouvernement maintient et maintiendra son opposition à la culture du Monsanto 810 sur notre territoire». 20 fév. 2012: le gouvernement demande à la Commision européenne de suspendre l'autorisation de mise en culture du MON810, en s'appuyant sur un avis de l'Agence européenne de sécurité alimentaire (AESA) du 8 décembre 2011, qui conclut à «des risques importants pour l'environnement». 16 mars 2012: le ministre de l'Agriculture prend «une mesure conservatoire visant à interdire temporairement» le MON810. 1er août 2013: le Conseil d'État suspend l'interdiction de culture du MON810. Le gouvernement promet une décision avant les prochaines semailles, au printemps. Source : AFP et LeParisien.fr
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 17:05
    je m'attends à d'autres évènements du même genre mais sans pouvoir expliquer pourquoi ... http://www.thistrend.com/people-tv/ovni-ans-l-yonne,3739700.html Ovni ans l'Yonne Le 01 Août 2013 à 18h00. Publié par ThistrendMedia Rémy Fauchereau, ufologue de l'A.E.P.A dans l'Yonne nous informe que le 21 juillet 2013, un témoin assis sur son lit au premier étage de sa maison, a vu en regardant par la fenêtre, un objet ovale jaune-pâle avec un tour supérieur orangé. Le phénomène est passé au-dessus des arbres pas très vite à une distance de 300 m de la maison située à PONCEAU. L'objet était gros comme le poing, pas de trainée, pas de bruit, il est partit en direction du village du Moulin de Marnay. Le témoin est descendue dans la cour de sa maison mais elle n'a rien remarqué de plus. durée de l'observation: 10 secondes. Si vous avez observé un phénomène similaire, veuillez contacter l'ufologue à l'adresse suivante: remyfauchereau@yahoo.fr
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    neo
    Lundi 19 Août 2013 à 17:54
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/08/16/des-seismes-sans-precedent-historique-sont-possibles-en-europe_3462489_3244.html Des séismes sans précédent historique sont possibles en Europe LE MONDE | 16.08.2013 à 12h29 • Mis à jour le 17.08.2013 à 15h36 | Par Pierre Le Hir Abonnez-vous à partir de 1 € Réagir Classer Imprimer Envoyer Partager facebook twitter google + linkedin Une cartographie inédite devrait déboucher sur une réévaluation des normes parasismiques. "Il reste beaucoup à faire pour améliorer l'évaluation du risque sismique." Fabrice Cotton, professeur de sismologie à l'université Joseph-Fourier (Grenoble-I), fait partie de la cinquantaine de scientifiques qui viennent de dresser les premières cartes harmonisées de l'aléa sismique à l'échelle de l'Europe, dans le cadre du programme Share (Seismic Hazard Harmonization in Europe). Un outil précieux pour les services chargés de l'élaboration des normes parasismiques comme pour les industriels exploitant des installations sensibles. La géographie générale de la sismicité sur le continent européen est connue. Elle résulte, principalement, de l'affrontement entre les plaques tectoniques africaine et eurasienne. Le danger est le plus fort en Turquie, en Grèce et dans la péninsule des Balkans, en Italie et en Roumanie. En France métropolitaine, où les zones les plus actives sont les Pyrénées, les Alpes, le Jura et le fossé rhénan, suivis du Massif armoricain et du Massif central, le seul tremblement de terre de magnitude supérieure à 6 depuis un siècle a été celui de Lambesc (Bouches-du-Rhône), qui fit 46 morts le 11 juin 1909. "Nous n'en sommes qu'au tout début de la compréhension du fonctionnement des failles, souligne pourtant M. Cotton. Faute de connaissances suffisantes, l'aléa sismique est encore mal évalué." Cette évaluation repose, pour les décennies récentes, sur les mesures des instruments terrestres sous-marins ou satellitaires qui enregistrent les déformations de la croûte terrestre. Et, pour les périodes plus anciennes, sur les archives du dernier millénaire. Ainsi du tremblement de terre de Bâle, en 1356, qui ravagea un vaste territoire à cheval sur la Suisse, la France et l'Allemagne. Ou de celui de Lisbonne, en 1755, responsable de 50 000 à 100 000 morts. CENTRALES NUCLÉAIRES, BARRAGES HYDRAULIQUES OU SITES INDUSTRIELS CLASSÉS Mais, prévient le chercheur, "il peut se produire des secousses beaucoup plus fortes que les séismes historiques de référence". Témoin, la catastrophe de Fukushima, le 11 mars 2011. Le séisme de Tohoku, qui, avec le tsunami qui l'a suivi, a fait 19 000 morts et a dévasté la centrale nucléaire japonaise de Fukushima, était de magnitude 9, alors que les tremblements de terre de référence dans la région ne dépassaient pas 7,3. En outre, ajoute le sismologue, "des failles bloquées généreront, un jour, des séismes là où l'on n'en a pas observé par le passé". Or c'est en fonction des séismes historiques qu'est calculée jusqu'à présent la robustesse des centrales nucléaires, des barrages hydrauliques ou des installations industrielles classées, notamment de la chimie. Le séisme de Bâle a ainsi servi de référence à EDF pour la centrale nucléaire alsacienne de Fessenheim. D'où la nécessité de mieux quantifier l'aléa sismique, c'est-à-dire la probabilité de secousses dans une zone et une période de temps données. Tel était l'enjeu du programme Share. Fédérant treize pays – dont la Turquie et l'Algérie –, pour un coût de 4,1 millions d'euros financé à 80 % par l'Union européenne, il a mobilisé pendant quatre ans sismologues, tectoniciens, géodésiens et ingénieurs du génie civil. Avec, côté français, l'Institut des sciences de la Terre (universités de Grenoble et de Savoie, CNRS, IRD, LCPC) et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Les scientifiques ont passé en revue les données historiques et les enregistrements depuis trente ans. Pour tenir compte de la possibilité d'événements telluriques plus violents que ceux documentés dans le passé, ils ont revu à la hausse les magnitudes maximales envisagées, de 0,5 à 1 degré supplémentaire, un niveau de plus sur l'échelle de Richter équivalant à une multiplication par 32 de l'énergie libérée. Ils ont aussi construit de nouveaux modèles de prédiction des vibrations du sol adaptés au contexte géologique européen, en intégrant les incertitudes. Enfin, ils ont produit des cartes probabilistes de l'aléa sismique en Europe. ÉVALUER L'ALÉA SISMIQUE À L'ÉCHELLE DE LA PLANÈTE Cette cartographie prédit, par exemple, le niveau de vibrations que pourraient subir des bâtiments, avec une probabilité de 10 %, dans les cinquante ans à venir. Ou, avec une probabilité de 5 %, dans les cinq prochains siècles. Des échelles de temps qui couvrent la durée de vie de la plupart des constructions et sites industriels, l'objectif final étant d'affiner les futures règles parasismiques européennes. Ce n'est qu'un début. Un nouveau projet de recherche (Strest), qui démarrera en octobre pour trois ans et auquel sont associés des industriels, va étudier les tests de résistance les mieux à même de prémunir les "infrastructures critiques" contre les aléas naturels. Et confronter les méthodes d'évaluation des événements extrêmes, séismes, crues ou tsunamis. L'Europe n'est pas seule à creuser ce sillon. Un programme mondial, le Global Earthquake Model, qui réunit des partenaires publics et privés, vise à évaluer l'aléa sismique à l'échelle de la planète. Une façon de "partager les connaissances entre pays avancés et pays en développement", commente Fabrice Cotton, face à un risque naturel auquel les nations les plus pauvres sont aussi les plus vulnérables. Pierre Le Hir Journaliste au Monde
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    Lundi 19 Août 2013 à 18:30
    démystifier dans quel but ? http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/insolite/20130817.OBS3489/les-ovnis-de-la-mythique-zone-51-n-etaient-que-des-avions-espions.html Les ovnis de la mythique Zone 51 n'étaient que des avions-espions Créé le 17-08-2013 à 19h10 - Mis à jour à 19h10 Rédacteur Par Rédacteur Sciences et Avenir Les apparitions d'ovnis dans le ciel du Nevada, à l'origine de la mythologie entourant la mystérieuse Zone 51, n'étaient en fait que des avions-espions U-2. Mots-clés : société, défense, Etats-Unis, aéronautique PARTAGER RÉAGIR0 Abonnez-vous à Sciences et avenir Les apparitions d'ovnis dans le ciel du Nevada, à l'origine de la mythologie entourant la mystérieuse Zone 51, n'étaient en fait que des avions-espions U-2 testés sur cette base ultra-secrète, a révélé la CIA. (c) Afp Les apparitions d'ovnis dans le ciel du Nevada, à l'origine de la mythologie entourant la mystérieuse Zone 51, n'étaient en fait que des avions-espions U-2 testés sur cette base ultra-secrète, a révélé la CIA. (c) Afp Les adeptes des théories de la conspiration vont être déçus et le fantasme alimenté par Hollywood du camouflage de l'existence d'extra-terrestres par le gouvernement américain en prend un coup: la zone 51 a servi aux tests du fameux avion-espion de la Guerre froide. Juste un centre d'essai C'est un rapport officiel sur l'histoire du programme U-2 entre 1954 et 1974 rédigé par deux historiens de la CIA et récemment déclassifié qui lève le voile. Tout au long des 400 pages de ce rapport, pas une mention de l'extra-terrestre de Roswell, dont l'ovni se serait écrasé au Nouveau-Mexique en 1947 et qui, selon la légende, aurait été ensuite caché et étudié dans la Zone 51. PISTE. En revanche, cette parcelle de désert du Mojave d'une vingtaine de kilomètres de long située au nord-ouest de Las vegas, est présentée comme le berceau de l'histoire de l'appareil de Gary Powers, le pilote abattu au-dessus de l'Union soviétique en 1960. C'est en survolant ce territoire à bord d'un petit avion Beechcraft qu'un responsable de la CIA, Richard Bissell, avait repéré en avril 1955 ce qui ressemblait à une piste d'atterrissage située sur un lac salé appelé Groom Lake. La CIA en avait déjà parlé Le terrain était situé au nord-est d'une zone appartenant à un terrain d'expérimentation de la Commission à l'énergie atomique américaine (AEC), comme le montre une carte de la région dévoilée par la CIA. Ce n'est pas la première fois que l'agence de renseignement reconnaît l'existence de la Zone 51. Dans un document déclassifié et mis en ligne sur internet en octobre 2012, un mémorandum datant de 1967 rédigé par le directeur de la CIA de l'époque, Richard Helms, évoque le déploiement depuis la Zone 51 de trois avions-espions au Japon pour des missions au-dessus du Vietnam. "Comme un objet enflammé" Dès le début des vols d'essais et d'entraînement en juillet 1955, "la haute altitude du U-2 a rapidement mené à un effet secondaire inattendu: l'augmentation phénoménale des signalements d'objets volants non-identifiés (Ovnis)", relatent les auteurs de la CIA. A l'époque, les appareils commerciaux volaient à une hauteur de 3.000 à 6.000 mètres. Les U-2 volaient eux à plus de 20.000 mètres. "De tels signalements étaient très fréquents en début de soirée de la part de pilotes commerciaux volant d'est en ouest". Le soleil était alors bas sur l'horizon, leur appareil étant "dans l'ombre". U2. Si un U-2 volait dans les environs à haute altitude, le soleil se reflétait sur ses ailes argentées, ce q2. ui "apparaissait pour le pilote commercial, 12.000 mètres plus bas, comme un objet enflammé", justifient-ils. Ce phénomène pouvait également être constaté du sol. "A cette époque, personne ne soupçonnait que le vol habité était possible à 20.000 mètres, donc personne n'envisageait de voir un objet si haut dans le ciel", expliquent-ils. Des enquêteurs muets En raison du caractère ultra-secret du programme U-2, les enquêteurs de l'Air Force chargés d'enquêter sur les signalements d'ovnis "ne pouvaient répondre à ceux qui leur écrivaient la vraie raison" de ces phénomènes, justifient les deux historiens. Dans la Zone 51 même, la sécurité assurée par la CIA était draconienne afin de préserver le secret entourant les U-2, comme elle le sera plus tard pour les avions furtifs testés sur la base de Nellis toute proche. "Pour ne pas éveiller l'attention", écrivent les auteurs, les employés de Lockheed, le constructeur de l'U2, étaient ainsi convoyés sur la Zone 51 depuis leur usine de Burbank (Californie) le lundi matin et rentraient chez eux le vendredi soir. Aux heures où le trafic aérien était le plus dense. J.I. avec AFP, 17/08/2013
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    Lundi 19 Août 2013 à 18:35
    http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/nature-environnement/20130813.OBS3096/les-poissons-remontent-vers-le-nord.html Les poissons remontent vers le nord Créé le 13-08-2013 à 14h57 - Mis à jour le 16-08-2013 à 16h20 Loïc Chauveau Par Loïc Chauveau Sciences et Avenir Une étude internationale chiffre l’ampleur d’une migration de grande ampleur des espèces marines vers les zones polaires. Un phénomène qui explique l’actuelle «guerre du maquereau» entre l’Union européenne et Islande. Mots-clés : réchauffement, Poisson, migration, Marine, marines, changement climatique, maquereau, POISSONS, Océans, guerre du maquerau PARTAGER RÉAGIR2 Abonnez-vous à Sciences et avenir Un banc de poissons Reinhard Dirscherl Un banc de poissons Reinhard Dirscherl La «guerre du maquereau » vient de se rallumer. Le 28 juillet dernier, l’Union européenne a ouvert la voie à de nouvelles sanctions contre l’Islande qui a unilatéralement augmenté en 2010 ses quotas de prise de maquereaux. Alors que cette espèce n’était pas du tout présente dans les eaux de ce pays très septentrional jusqu’au début du XXIème siècle, elle s’y trouve désormais en abondance du fait du réchauffement climatique. Le même phénomène est intervenu avec le hareng pour les Iles Feroë. Ces deux pays profitent donc de cette manne. Pour les Européens et notamment les Ecossais qui dépendent beaucoup de cette pêche, ces poissons font partie de la même population qu’il convient d’exploiter avec précaution. Mais les Islandais et les Féringiens comptent bien prendre leur part de ces richesses apportées par le réchauffement des eaux. Un phénomène mondial Ce conflit est l’une des conséquences d’un phénomène mondial qui vient d’être mesuré. Des études partielles sur quelques espèces et dans certaines régions maritimes montraient déjà un phénomène en cours: les poissons remontent vers des eaux plus fraiches. Ainsi, depuis une dizaine d’années, les poissonniers français de la façade atlantique ont pris l’habitude de commercialiser des balistes, poissons tropicaux habitués des récifs coralliens qui sont aujourd’hui capturés jusque dans la Manche. Mais, il n’existait pas encore d’études globales pouvant donner une idée de l’ampleur d’un mouvement de migration peu étudié jusqu’ici puisqu’il ne représentait que 1% des travaux compilés par le quatrième rapport du GIEC en 2007. C’est chose faite avec l’article publié le 4 août dans Nature Climate Change. "Le changement climatique a déjà eu un impact concret et significatif sur tous les écosystèmes" Elvira Poloczanska. CSIRO. Une équipe internationale de scientifiques américains, australiens, canadiens, européens et sud-africains ont revisité 1735 études portant sur les changements biologiques constatés au sein de la vie marine. Aucun des océans n’a été oublié et certaines études révèlent des tendances s’inscrivant sur quatre décennies: «le changement climatique a déjà eu un impact concret et significatif sur tous les écosystèmes (côtier et grand large), à toutes les latitudes (des polaires aux tropicales) et à tous les niveaux de la chaîne trophique (du plancton aux requins)» annonce la principale auteure de l’étude, Elvira Poloczanska, du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization (CSIRO, l’équivalent australien du CNRS) Les espèces marines migrent de plus de 70 km par an vers des latitudes plus élevées Les changements impliquent à la fois les aires de répartition des espèces et leurs périodes de reproduction. 81% des études sont parfaitement cohérentes avec les effets qu’on peut attendre d’une augmentation des températures de l’eau. Ainsi, en moyenne, les espèces marines sont remontées de 72 kilomètres par décennie vers des latitudes plus élevées. Sur terre, ce déplacement n’est que de six kilomètres. Le phytoplancton est le plus véloce avec 470 kilomètres tous les dix ans, devant les poissons osseux (277 kilomètres par décennie) et le zooplancton invertébré (142 kilomètres). Sans surprise, les mollusques, crustacés et grandes algues sont les plus lents. Les périodes de reproduction au printemps sont également perturbées. En moyenne, elles se déroulent quatre jours plus tôt que dans la décennie précédente, et cela peut atteindre même onze jours pour les larves de poissons. Les migrations marines se font toujours sur de grandes distances Les chercheurs ont par ailleurs mis en lumière un phénomène très subtil. Sur terre, les espèces n’ont souvent que peu de distance à effectuer pour monter en altitude et retrouver les conditions qui leur conviennent. Rien de tel en mer où les différences de températures sont moins marquées: «comme la surface des océans est relativement plate, les plantes et les animaux marins doivent parcourir de plus grandes distances pour retrouver leurs conditions de vie préférées » poursuit Elvira Poloczanska. Ces déplacements de la vie marine auront de grandes conséquences sur les activités humaines et notamment sur l’alimentation puisque la moitié de l’Humanité dépend des produits marins pour ses apports en protéines, préviennent les auteurs de cette étude. Les conflits ont déjà commencé comme le démontre la «guerre du maquereau ». Loïc Chauveau, Sciences et Avenir A LIRE AUSSI : Un peu moins de surpêche en 2012 en Europe
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    Lundi 19 Août 2013 à 20:15
    http://www.livescience.com/38955-coastal-cities-face-massive-flooding.html?cmpid=532492 Coastal Flooding Damage: $1 Trillion a Year by 2050 By Tia Ghose, Staff Writer | August 18, 2013 01:58pm ET 19 16 3 Share 5 Hurricane Sandy Brooklyn [Pin It] A striking image of Verrazano Bridge in Brooklyn as Hurricane Sandy approaches on Oct. 29, 2012. Credit: Carlos Ayala View full size image Coastal flooding in cities around the world could cause damage totaling $1 trillion annually by the year 2050 if no mitigating steps are taken, new research suggests. Almost all cities facing the worst damage are in Asia and North America, the study showed. Three American cities — New York, New Orleans and Miami — are at particularly high risk of damage, according to the study, published today (Aug. 18) in the journal Nature Climate Change. "If we did nothing about the risk, the flood damages in coastal cities would grow to huge amounts. So that's really not an option," said study co-author Robert Nicholls, a coastal engineering professor at the University of Southampton in England. Damaging storms Climate change models generally predict that storms will grow more frequent and fierce over the next several decades. We may already be seeing its impact: Many scientists believe that climate change worsened the toll of Hurricane Sandy. [How Weird!: 7 Rare Weather Events] After Hurricane Katrina ravaged the Gulf Coast in 2005, Nicholls and his colleagues realized that scientists had little idea which cities around the world were most vulnerable to flooding. So the team compiled data on 136 coastal cities with more than 1 million residents, looking at the elevation of the cities, the population distribution and the types of flood protection they had, such as levees or storm-surge barriers. They then combined that data with forecasts of sea level rise, ground sinking due to groundwater depletion, as well as population growth projections and economic forecasts of gross domestic product (GDP). From there, they used the depth of water flooding a city to estimate the cost of the damage. Two vulnerable continents The researchers found that in both their best- and worst-case projections of sea level rise, the yearly global cost reached higher than $1 trillion. The most vulnerable city was Guangzhou, China, followed by Mumbai and Kolkata in India, Guayaquil, Ecuador and Shenzen, China. Almost all cities at the highest risk of flooding damage were in North America or Asia. [See The 20 Cities Most Vulnerable to Flooding] If cities take steps to prevent damage — by increasing the height of levees, erecting storm surge barriers, making buildings flood-resistant or converting flood-prone, low-lying areas to parks or football fields — the cost of the damage could be brought down to about $50 billion annually. It would be cheaper and more sensible to make these changes before Katrina-like storm surges become the norm, Nicholls said. "The bottom line is it shows that flood risk is rising today — it's happening" Nicholls told LiveScience. "All these cities need to be preparing for that." Follow Tia Ghose on Twitter and Google+. Follow LiveScience @livescience, Facebook & Google+. Original article on LiveScience. Editor's Recommendations 5 Wild Weather Control Ideas Hurricane Sandy: Photos of a Frankenstorm The Reality of Climate Change: 10 Myths Busted
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