• La NASA dévoile les premières images du Soleil transmises par le télescope spatial IRIS. La mission de deux ans minimum doit explorer les couches basses de son atmosphère.

     

    Le télescope spatial IRIS de la NASA a été lancé il y a un mois et placé sur orbite autour du Soleil pour une mission d'au moins deux ans. L'Interface Region Imaging Spectrograph doit aider à percer les mystères des couches basses de l'atmosphère de l'étoile du Système solaire. Elles sont situées entre la surface du Soleil et la couronne solaire.

    IRIS est la combinaison d'un télescope ultraviolet et d'un spectrographe. Il a été conçu pour capturer des images en haute résolution à très court intervalle de seulement quelques secondes. Il peut se concentrer sur des zones d'une dimension de 240 km. Le diamètre moyen du Soleil avoisine 1,4 million de kilomètres !

    Le spectrographe à bord analyse la lumière du Soleil, la divise en plusieurs longueurs d'onde et procède à des mesures. L'observation a débuté pour la première fois le 17 juillet et la NASA vient de dévoiler les premières images rapportées par IRIS.

    Selon la NASA, la qualité des images et des spectres reçus d'IRIS est " étonnante ". Les images montrent des " détails sans précédent " d'une région qui avait été jusqu'alors peu observée. Elles dévoilent une multitude de structures fines, " comme des fibrilles ", qui révèlent " d'énormes contrastes de densité et de température ".

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    La NASA ajoute que ces premières images fournissent des indices sur la manière dont l'énergie est transportée et absorbée dans cette région du Soleil encore méconnue. Sur les images, des taches s'illuminent rapidement et s'obscurcissent.

    Les scientifiques espèrent pouvoir mieux comprendre la basse atmosphère du Soleil et notamment la formation et la prévision des tempêtes solaires qui peuvent avoir une incidence sur le bon fonctionnement des réseaux électriques et de communications sur Terre.

      

    Ci-dessous, les deux taches solaires observées dans une zone large par le satellite Solar Dynamics Observatory de la NASA (à gauche) et par IRIS (à droite) qui joue en quelque sorte le rôle de microscope :

    SDO-Soleil IRIS-Soleil

    L'image montre du silicium ionisé dans une zone de transition à une température de près de 64 000 °C et un continuum ultraviolet émis par la chromosphère - la basse atmosphère du Soleil - à la température de l'ordre de 9 000 °C. Les points lumineux avec une intense émission de silicium ionisé ont une courte durée de vie. Le rôle de tels événements dans le réchauffement de l'atmosphère solaire demeure une énigme à élucider.

     

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    Pleine Lune

    Une nouvelle étude démontre que nos grands-mères avaient bel et bien raison : la pleine Lune peut réellement troubler notre sommeil ! On l'a tous entendu, et même pensé au moins une fois : "c'est la pleine Lune, j'ai du mal à dormir". Et si ce cliché populaire s'avérait vrai ? C'est ce que semble montrer une étude réalisée par des chercheurs suisses et tout juste parue dans la revue Current Biology. "Le cycle lunaire semble vraiment affecter le sommeil humain, même quand on ne voit pas la Lune et que nous ne sommes pas conscient de sa phase", indique Christian Cajochen, de l'hôpital psychiatrique universitaire de Bâle.

    20 minutes de sommeil en moins Pour en arriver là, l'étude s'est portée sur 33 patients volontaires dont les scientifiques ont observé le sommeil. Des électroencéphalogrammes (EEG), des mesures des mouvements oculaires ainsi que des relevés hormonaux ont été pratiqués sur les volontaires. Résultat : les soirs de pleine Lune, les chercheurs ont compté en moyenne 20 minutes de sommeil en moins, 5 minutes de plus pour s'endormir et une réduction de 30% de la durée du sommeil profond ! Mais ce n'est pas tout, les taux de mélatonine, "l'hormone du sommeil", ont également connu une chute les soirs de pleine Lune. "Il s'agit là de la première étude fiable concernant une rythmicité lunaire structurant le sommeil humain", expliquent les chercheurs. Ce rythme circalunaire pourrait être le vestige de temps plus anciens où la Lune aurait influencé les comportements, comme par exemple pour la reproduction, ajoute Christian Cajochen. Un rythme circalunaire chez certains animaux Ce rythme basé sur un cycle de 28 jours (comme celui de la Lune) est déjà présent chez de nombreux animaux, comme les espèces marines vivant dans la zone de balancement des marais. En 2011, une étude révélait l'existence de gènes contrôlant le rythme circalunaire chez Clunio marinus, une larve de moustique vivant dans ces zones. Néanmoins, fait amusant, les données de cette étude ne sont en réalité pas nouvelles : elles datent des années 2000 à 2003. C'est en discutant autour d'un verre un soir de pleine Lune que les chercheurs ont eu l'idée de tester son influence sur le sommeil. Ils ont donc ressorti les données pour les mettre en parallèle avec le calendrier lunaire et c'est là qu'ils ont établi la corrélation. Avec dorénavant des données concluantes, les chercheurs ont pour projet de continuer à s'intéresser à l'influence de la Lune sur nos comportements, car même si celle-ci peut se retrouver cachée par la pollution lumineuse et les immeubles des grandes villes, son influence se fait tout de même ressentir.

    http://www.maxisciences.com/pleine-lune/la-pleine-lune-nous-empecherait-reellement-de-bien-dormir_art30289.html

     


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    Les services secrets américains s’intéressent à la possibilité de contrôler le climat sur Terre. Une étude ad hoc a été commandée à l’Académie nationale des sciences par la CIA. Cela suscite la crainte que les Américains cherchent à se doter d’une arme climatique offensive.

     

    La CIA a débloqué 630 000 dollars pour étudier les possibilités de la géoingénierie. Avec cet argent, les scientifiques doivent examiner s’il est envisageable que l’homme influe sur les conditions climatiques. Ils doivent également définir quelle menace la géoingénierie pourrait représenter pour la sécurité nationale.

    En soi, cette étude semble assez anodine. Cependant, son financement par la CIA peut laisser supposer que les Américains veulent en fait fabriquer des armes climatiques. Il est assez difficile de savoir si cette crainte est fondée. La majorité des experts interrogés par La Voix de la Russie se sont refusés à tout commentaire. Toutefois, personne ne nie que toutes les armées du monde rêvent depuis longtemps de disposer de telles armes.

    « Il y a longtemps, peut-être même 50 ans, que les grandes puissances s’intéressent aux armes climatiques. Nous avons connaissance de cas d’actions extérieures sur le climat. La question n’est pas de savoir si l’on peut ou non influer sur le climat, mais de savoir quelles en seraient les conséquences. Le plus difficile dans cette situation, c’est de prédire le résultat. C’est pour cette raison que, selon moi, on ne peut pas qualifier d’armes ce qui se fait actuellement dans ce domaine. Je pense aussi cela parce que les sommes allouées par le gouvernement américain pour cette étude sont très modestes. Il s’agit de centaines de milliers de dollars. C’est évidemment un montant ridicule pour développer de telles nouvelles armes », explique Aleksandr Charavine, directeur de l’Institut d’analyse politique militaire.

    Cependant, les USA ont déjà influé sur la météo à des fins militaires. C’était pendant la guerre du Vietnam. Les Américains lançaient alors l’opération Popeye : pendant la saison des pluies, ils ont dispersé de l’iodure d’argent depuis des avions. Les précipitations ont alors triplé et la durée des pluies a augmenté de 50 %. Ainsi, les routes et les sentiers par lesquels les partisans recevaient armes et munitions ont été transformés en vastes marécages.

    Certes, à l’époque, il avait été reconnu que de telles méthodes militaires coûtaient très cher et que leurs effets étaient à court terme. Cependant, la certitude que les Américains sont capables de lancer un « sortilège climatique » à leurs ennemis est toujours ancré dans les esprits. Ainsi, en septembre dernier, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad avait déclaré que ses ennemis avaient apporté la sécheresse dans la République islamique. Et feu Hugo Chavez, président du Venezuela, avait accusé les USA d’être impliqués dans les tremblements de terre de 2010 en Chine et en Haïti. Alekseï Kokorine, directeur du Centre climatique de la WWF, rappelle que, en Russie, la station américaine HAARP est la coupable des chaleurs anormales.

    « La station à haute fréquence HAARP en Alaska est très connue. En gros, c’est un four à micro-ondes géant. Et quand, en juillet 2010, Moscou a connu une canicule horrible, des bruits ont couru. « N’est-ce pas à cause de cette station ? » En principe, cette station est capable de trouer un nuage, même à une grande distance. Le fait est que cela n’a pas été établi lors des chaleurs à Moscou. »

     La station HAARP n’est pas unique. D’autres pays utilisent des instruments de recherche ionosphérique similaires, y compris la Russie, dans l’oblast de Nijni Novgorod. La différence est que la majorité des informations recueillies par l’HAARP sont confidentielles et que la marine américaine participe au projet. C'est sûrement pour cela que la station HAARP a été démonisée. Quoi qu’il en soit, la station a été récemment fermée. Les moyens manquaient tout simplement pour continuer son exploitation.

     http://french.ruvr.ru/2013_07_26/230639190/

     

    Complément d'info ( pour mieux comprendre ) : http://www.voltairenet.org/article179597.html


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  • Qu'est-ce qu'un orage ?

    Un orage est un phénomène atmosphérique caractérisé par une série d'éclairs et de coups de tonnerre. Un éclair peut se déclencher à l'intérieur du nuage, entre deux nuages, ou entre le nuage et le sol (c'est le coup de foudre).
    L'orage est toujours lié à la présence d'un nuage de type cumulonimbus, dit aussi nuage d'orage. Il est souvent accompagné par un ensemble de phénomènes violents : rafales de vent, précipitations intenses – parfois de grêle –, et quelquefois vents rabattants, ou bien trombe ou tornade.
    Les orages se forment lorsque l'atmosphère est instable. L'air doit alors être chaud en surface et froid en altitude.

     

    L'orage est généralement un phénomène de courte durée : de quelques dizaines de minutes à quelques heures. Il peut être isolé (orage dû à la présence de reliefs ou causé par le réchauffement du sol en été) ou organisé en ligne (dite « ligne de grains » par les météorologistes).
    Par certaines conditions, des orages peuvent se régénérer sans cesse au même endroit ou bien s'y succéder à leur maximum de maturité. Ils provoquent ainsi durant plusieurs heures de fortes précipitations qui conduisent à des inondations catastrophiques.

     


    Le nuage d'orage : le puissant cumulonimbus

    Le cumulonimbus est le nuage caractéristique des phénomènes orageux. Il est également responsable de toutes les chutes de grêle. Ce nuage géant et menaçant, large de 5 à 15 km, peut s'élever jusqu'à 15 km d'altitude sous nos latitudes. À son sommet, le cumulonimbus se heurte à la stratosphère et s'étale largement, ce qui lui donne sa forme générale d'enclume (ou, parfois, de panache ou de chevelure ébouriffée).


     

    Les différents types de nuages (fichier PDF, 179 Ko)

     

    Comment se forme un cumulonimbus ?




    L'air chauffé par le rayonnement du soleil sur la surface terrestre se dilate et devient plus léger que l'air situé au-dessus de lui. Il s'élève alors, comme le ferait une montgolfière. Si cet air est suffisamment humide, la vapeur d'eau qu'il contient se condense pour former des gouttelettes d'eau : un nuage de type cumulus apparaît. Dans une atmosphère instable, les mouvements verticaux de l'air sont intenses et vont favoriser par cette condensation le grossissement du nuage, qui se développe et monte en altitude. Les gouttelettes les plus élevées se transforment alors en cristaux de glace : le cumulus devient un cumulonimbus.

    Que se passe-t-il dans un cumulonimbus ?

    Le cumulonimbus est une véritable usine thermodynamique, qui se nourrit d'air chaud et humide pour fournir l'énergie nécessaire aux mouvements ascendants. Son énergie est considérable : chaque seconde, un gros cumulonimbus peut aspirer 700 000 tonnes d'air et absorber ainsi 8 800 tonnes de vapeur d'eau. Le même nuage peut renvoyer à la surface terrestre 4 000 tonnes d'eau, sous forme d'eau liquide, de neige ou de grêle.

    Les orages agissent globalement comme des générateurs électriques, créant un courant dirigé du sol vers le nuage. En effet, les mouvements verticaux de l'air dans le cumulonimbus sont très violents : brassées par des vents pouvant dépasser 130 km/h, les particules d'eau et de glace du nuage s'entrechoquent. Ces nombreuses collisions provoquent l'électrisation du nuage, où des particules de signes opposés se regroupent à différents étages depuis la surface (chargée négativement) jusqu'au sommet (chargé positivement). Des microdécharges se propagent alors et finissent par établir une liaison électrique entre le nuage et le sol.

    Cumulonimbus_capilatus

    Que sont la foudre, l'éclair et le tonnerre ?

    La foudre est une décharge électrique. L'éclair est le résultat visible de l'échauffement de l'air, tandis que le tonnerre est le bruit émis par la vibration de l'air le long de cette décharge électrique lors de sa propagation. En quelques millièmes de seconde, l'air atteint une température de 30 000 °C et subit de très fortes compressions suivies de dilatations tout aussi violentes. Ces mouvements brusques et successifs produisent des ondes sonores qui produisent les claquements, grondements et roulements du tonnerre.


    Comment détecte-t-on les impacts de foudre ?

    La société Météorage, filiale de Météo-France, détecte depuis 1987 les impacts de foudre sur le sol français grâce à un réseau de 18 capteurs qui les repèrent et les localisent. Des accords avec les réseaux des pays voisins (Italie, Espagne et Benelux) permettent également d'exploiter les mesures de 12 capteurs limitrophes. Grâce à des cartes de points d'impact, l'activité orageuse peut être suivie en temps réel sur Minitel ou Internet. Météorage fournit également des alertes foudre ou évalue le risque de foudroiement pour un site donné.


    Où et quand se produisent les orages en France ?


    Dans la plupart des régions, les orages se produisent le plus souvent durant les mois de juin, juillet et août. Le Sud-est de la France fait toutefois exception : les orages sont souvent plus nombreux en septembre, voire en octobre et novembre pour la Corse.

    Sur l'ensemble de l'année, les orages sont plus fréquents en Corse et sur le sud de l'Aquitaine. On y dénombre en moyenne plus de trente jours d'orage par an. Sur le nord de l'Aquitaine, Midi-Pyrénées, le Limousin, l'Auvergne, les reliefs de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Rhône-Alpes, le sud de la Bourgogne, la Franche-Comté, l'Alsace et la Lorraine, les orages sont relativement nombreux. Sur le reste du pays, ils sont moins fréquents, même assez rares sur la Bretagne.

    Pour la période estivale (juin-juillet-août), la répartition est un peu différente. En été, les orages ne sont guère plus fréquents en Corse que sur la région parisienne. C'est surtout sur un axe Sud-ouest/Nord-est et sur les régions alpines que se produisent le plus fréquemment les orages estivaux. On dénombre généralement chaque été sur ces régions quinze à vingt journées orageuses. Comme pour l'ensemble de l'année, c'est en Bretagne qu'ils sont les plus rares en été, avec en moyenne moins de cinq journées avec orage.

    Carte du nombre moyen d'impacts de foudre au sol par km²/an (période 2000-2009)


    Combien d'impacts de foudre en France chaque année ?

    La France reçoit en moyenne un million de coups de foudre par an.
    Le record journalier du nombre d'impacts de foudre sur notre pays date du 6 août 1999 : Météorage a enregistré ce jour-là 75 901 impacts de foudre. Au deuxième rang, le 17 août 2004 totalise 56 317 impacts, et au troisième rang, le 28 juillet 1994, 44 142 impacts de foudre.


    Carte d'impacts de foudre enregistrés le 6 août 1999 (fichier PDF, 194 Ko)

    Carte d'impacts de foudre enregistrés le 17 août 2004 (fichier PDF, 195 Ko)

    Carte d'impacts de foudre enregistrés le 28 juillet 1994 (fichier PDF, 183 Ko)

    À chaque instant, 1 000 à 2 000 orages sont actifs autour de la planète. Ils produisent une centaine d'éclairs environ par seconde, soit 8 millions par jour.
    En France, la foudre provoque le décès de 15 à 40 personnes par an.



     

    Les dangers liés aux orages




    Un orage peut toujours être dangereux en un point donné, en raison de la puissance des phénomènes qu'il produit et de leur caractère aléatoire.

    La foudre est le nom donné à un éclair lorsqu'il touche le sol (ou un aéronef). Cette décharge électrique intense peut tuer un homme ou un animal, calciner un arbre ou causer des incendies.
    Les pluies intenses qui accompagnent les orages peuvent causer des crues-éclairs dévastatrices. Un cumulonimbus de 1 km de large sur 10 km de hauteur contient 1 million de litres d'eau. Un orage déverse fréquemment plus de 50 à 100 litres d'eau par mètre carré en quelques heures. En septembre 1992, 400 à 500 litres d'eau étaient tombés sur Vaison-la-Romaine.

    La grêle est un type de précipitation formé de petits morceaux de glace, qui peut par exemple dévaster en quelques minutes un vignoble ou un verger.

    Le vent sous un cumulonimbus souffle par rafales violentes jusqu'à environ 140 km/h et change fréquemment de direction. Plus rarement se crée sous la base du nuage un tourbillon de vent très dévastateur, la tornade.
    Les pilotes, même de gros avions, évitent de traverser des cumulonimbus : ils pourraient être soulevés de plusieurs centaines de mètres, puis brutalement rabattus dans ce qu'on appelle communément des "trous d'air".

    Comment se protéger de la foudre ?




    En montagne
    Éviter les arêtes et les sommets.
    Si l'on est surpris sur un sommet, descendre le plus bas et le plus rapidement possible.
    S'éloigner de tout objet métallique (piolets, crampons, mousquetons, pitons, bâtons télescopiques, pylônes, etc.).

    En tous lieux
    Ne pas stationner sous un arbre isolé, ni sous un surplomb.
    Éviter de manipuler tout conducteur d'électricité (eau qui ruisselle…).
    S'asseoir par terre, car la foudre est attirée par tout ce qui dépasse (un arbre, un pic, ou un homme debout). Ne pas s'allonger ni s'appuyer contre une paroi.
    S'isoler au maximum du sol au moyen de tout matériau isolant : rouleau de corde, sac de couchage, ou sac à dos dont l'armature est posée sur le sol.

    Les signes annonciateurs de l'orage

    L'orage s'annonce par divers phénomènes :
    - Le ciel s'assombrit rapidement, et dans les orages les plus violents il peut devenir d'un noir d'encre. Plus le ciel est sombre, plus le nuage est épais.
    - Le vent se renforce et tourne à la bourrasque. Ces rafales précèdent souvent de fortes pluies.- Votre poste de radio grésille et révèle ainsi une forte activité électrique, due à la foudre à proximité.
    - En montagne, vous pouvez observer des effluves lumineux à l'extrémité des objets pointus (feux Saint-Elme) ou entendre des bourdonnements diffus. Ces signes indiquent l'imminence d'un coup de foudre.

     

     

    En savoir plus sur Météorage

     

    Source : Météo-France


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  • J'ai vu sur des sites d'info la présence d'une énooooooooooorme trou coronal, le 18 juillet, sur le Soleil...

     

    Voici l'image :

     

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    Effectivement, cela parait énorme, mais la manipulation est fine. Il s'agit d'une image de Soho, à 284 Angstrom, donc de très hautes températures, ce qui grossit notoirement le trou coronal.
     
    En réalité, le trou coronal était bien plus modeste, et c'est visible dans l'image de 195 Angstrom, beaucoup plus fidèle à la réalité.
     
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    Bon, les médias sont là pour faire du sensationnel,. Ne vous laissez pas piéger.

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