• Assez rare en ce moment pour être remarquable.

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    C'est presque en face de la Terre mais bien trop au dessus de l'équateur solaire pour être un réel danger.

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  • Après un début de mois relativement doux et sec, janvier a été marqué par une succession de nombreux passages perturbés, souvent neigeux, sur la moitié nord du pays. Hormis dans le Sud-Est, l’ensoleillement est l’un des plus faibles enregistrés pour un mois de janvier.

    Températures

    Après un début de mois très doux, les températures ont été très fraîches du 13 au 26. En toute fin de mois, elles ont dépassé les normales de 4 à 6 degrés sur la quasi-totalité du pays. Sur l’ensemble du mois, la température moyenne est plus fraîche sur le Nord – Pas-de-Calais, la Picardie et du Limousin au nord de Midi-Pyrénées que sur le reste du pays. Moyennée sur la France, la température mensuelle est inférieure de 0.3 °C à la normale.

    Précipitations

    Avec des cumuls de pluie supérieurs à 100 mm dans le Sud-Ouest, sur le littoral provençal et sur l’ouest de la Corse, la pluviométrie a été supérieure à la normale, jusqu’à 1,5 à 2,5 fois en Aquitaine et Midi-Pyrénées. En revanche, sur le nord des Alpes et en Languedoc-Roussillon, les cumuls de pluie sont restés inférieurs aux valeurs saisonnières. Sur le nord du pays, les précipitations se sont produites essentiellement sous forme de neige ou de pluies verglaçantes et ont également été inférieures à la normale, tout particulièrement de la Haute-Normandie aux frontières du Nord et du Nord-Est avec localement plus de 50 % de déficit. Ainsi, la pluviométrie, très contrastée géographiquement, est néanmoins proche de la normale sur la France.

    Ensoleillement

    Excepté du Languedoc à la Provence et sur la façade orientale de l’île de Beauté, l’ensoleillement a partout été très inférieur aux valeurs saisonnières, avec un déficit de plus de 50 % sur le nord-est du pays. Le déficit d’ensoleillement est encore plus marqué du Berry à la Bourgogne jusqu’au nord de l’Alsace.Globalement sur la France, janvier 2013 est l’un des moins ensoleillés depuis 1950 avec janvier 2004 et janvier 1970.Des valeurs records pour un mois de janvier ont été mesurées : Auxerre (89) et Langres (52) ont par exemple connu respectivement 11h27 et 13h49 d’ensoleillement, alors que les normales mensuelles de ces deux stations sont de plus de 60 heures pour un mois de janvier (déficit de 80%).

     

    Source

     

    Note de Ferlin: Le cycle solaire n'a jamais été aussi faible depuis les années 50 ( Hiver 54, l'abbé Pierre, et le terrible hiver 56 )... 1970 a été le cycle le plus faible de la deuxième moitié du XX ème siècle qui s'est démarqué par une très forte activité...

    Ce graphique des cycles solaires montre bien que le cycle actuel est à l'équivalent de celui des années 30. Les années 50 sont restées dans la mémoire car nous étions après guerre et dans une remontée dans le cycle solaire. Le début du XX ème siècle a connu de rudes hivers. On peut voir également la faiblesse du cycle des années 70. Pour 2004, nous sommes dans une descente de cycle, qui est, lui, très similaire à celui des années 50.

     

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           COOPERATING STATIONS :   70              62              62

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  • Certaines comètes à longue période pourraient faire subir au réseau global électronique le type d'effets en général associés aux armes à impulsion électromagnétique ou à une guerre nucléaire à grande échelle.

    Selon David Eichler, auteur principal d'un papier à paraître dans « Astrophysical Journal Letters », une comète à longue période rasant le soleil (sungrazer) d'à peu près la taille de Hale-Bopp (avec un noyau d'environ 30 km de diamètre), pourrait générer une onde de choc de rayons cosmiques suffisamment puissante pour initier un Armageddon électromagnétique global..

    L'astrophysicien de l'Université Ben Gourion du Néguev fait valoir que les satellites qui ne seront pas en mode de protection seraient anéantis avec la plupart des appareils électroniques dans le monde, tout à partir des micro-circuits des téléphones cellulaires jusqu'aux centrales électriques.

    Si une telle comète avait la taille de Hale-Bopp, Eichler affirme que l'éruption solaire en résultant serait de loin la plus grande jamais observée. La comète sera comprimée puis explosera ensuite dans l'atmosphère solaire créant une onde de choc.

    Eichler pense qu'une telle comète peut avoir déclenché une grande éruption solaire et des rayons cosmiques générant une onde de choc en 775 après JC, comme indiqué par l'analyse de cernes d'arbre indiquant vers une soudaine flambée de 1,2 pour cent du taux de carbone 14 atmosphérique.

    « Je ne dis pas que cet événement ne pouvait pas avoir été causé par une poussée magnétique solaire, mais nous n'avons jamais vu une éruption solaire aussi importante « a déclaré Eichler. Bien que le mouvement de la comète pourrait à lui seul fournir assez d'énergie pour causer des ondes de choc », la véritable accélération de particules se passera dans le champ magnétique du Soleil, explique Eichler. Voyageant à 1000 kms par seconde, les ondes de choc atteindraient la terre en une journée et demie.

    Et les effets seraient probablement bien pires que l'événement Carrington de 1859, une super-tempête solaire qui a fait des ravages sur les lignes télégraphiques provoquant des aurores boréales visibles aussi loin au sud que le Texas.

    Lovejoy constitua une exception récente, cette comète à longue période qui en Décembre 2011, a été observée de façon inattendue survivre à son point le plus proche du soleil. Eichler affirme qu'il est tout à fait possible qu'une grande comète puisse froler le soleil une fois sur une période de plusieurs milliers d'années. « Si une comète de la taille de Hale-Bopp frôle la couronne solaire », a déclaré Eichler « , vous obtiendrez une éjection de masse coronale au moins 30 plus importante que lors de l'événement de Carrington. Hale-Bopp elle même pourrait devenir une cométe Sungrazer dans un lointain avenir.

    Mais il y a un point positif dans la mesure où les astronomes devraient, en principe, avoir quelques années de préavis si une telle comète revenait de nouveau. Cependant, mis à part quelques exceptions dans le domaine militaire, nos appareils électroniques ne sont pas protégés contre de tels traumatismes magnétosphériques potentiels.

    Aujourd'hui, un événement de type Carrington serait dévastateur, déclare Eichler, et il n'était pas particulièrement puissant ou inhabituel sur une échelle de temps astrophysique.

    Après avoir terminé ses recherches, Eichler se dit très surpris par le fait que nous sommes toujours là pour témoigner. « Je ne savais pas que le système solaire était un endroit si dangereux».

     

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  • Mouarf, elle est ridiculement petite, pratiquement insignifiante....

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